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Droit du vivant


Notre société est elle vraiment prête à cesser

les violences contre les animaux ?



Sous nos yeux


Certaines grandes entreprises de l'industrie alimentaire maltraitent les animaux, les gavent parfois, pour produire le plus possible, pour vendre plus et pour gagner plus. Mais ce n'est pas tout. Dans certains zoos ou parcs zoologiques, les animaux sont contraints à l'obéissance, parfois sous l'effet de drogues, pour que les spectacles soient plus performants: nulle place pour la liberté. Dans beaucoup de cirques, les animaux sont maltraités. Parfois, ceux-ci en font les frais et sont obligés d'arrêter leur activité à cause des violences exercées. Soumis à la peur des conséquences électorales, les communes et les villes se ferment, certes, mais pour de mauvaises raisons alors que ce sont les droits du vivant qui devraient primer en toute occasion, non le calcul politique.




Comment changer de culture ?


Pour changer les choses, il ne devrait pas s'agir de fermer les zoos, les cirques, ou arrêter de produire de la viande. Il faudrait plutôt changer de manière de faire, quitte à produire moins ou à avoir moins d’animaux à exposer. Nous devons apprendre à faire mieux, à produire un peu moins, mais dans de meilleures conditions, à ne pas enfermer, forcer les animaux à faire des figures pour plus d’argent : c'est en liberté, dans un univers naturel qu'ils révèlent le plus leur beauté et leur coté sauvage, authentique. L’argent pour l'argent ne peut plus être une manière acceptable de vivre dans ce monde.


Collectif Mediaparks

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